Les Européens sourds regrettent que la langue des signes ne soit pas encore assez reconnue : cela les marginalise. Trouver un emploi ou suivre une scolarité classique relève du parcours du combattant. De leur côté, les États nuancent : ils affirment qu’ils mettent tout en œuvre pour que les sourds disposent des mêmes chances que les autres.
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